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Gravure, Biologie marine, Flore marine, Plantes marines, Algues brunes, Alfred Moquin-Tandon (1804-1863), Dictyotales, Kelp géant, Laminariacées, Lessoniacées, Macrocystis pyrifera
Alfred Moquin-Tandon, alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866 : Planche III, Flore marine d'après Gudin. Dictyota dichotoma (algues brunes), Padina pavonica (padine Queue-de-paon), Saccharina latissima (Laminaire sucrée ou Baudrier de Neptune), Alaria esculenta (comestible), Laminaria digitata (laminaire digitée ou goémon de coupe), Macrocystis pyrifera (algues géantes dites kelp), Lessonia fuscescens, Lessonia ovata, Macrocystis luxurians.
Alfred Moquin-Tandon, alias Alfred Frédol, "Le monde de la mer" en 1866 : Planche IV, Algues marines. Tetraspora gelatinosa, Callithamnium corymbosum, Plocamium vulgaire, Polysiphonia fibrata, Rivularia nitida, Delesseria hypoglossum, Chondrus crispus, Laminaria saccharina, Chorda filum, Laminaria digitata.
Peinture, Poissons, Années 1890, Anton Seder (1850–1916), Lithographies, Flore marine, Paysages marins, Placodermes, Plantes marines
Lithographie de Anton Seder (1850–1916), Art Nouveau 1890 : paysages sous-marins.
Photographie, Aquariums marins, Prague (République tchèque), Biologie marine, Plantes d'aquarium, Loisirs, Aquariums publics, Aménagement des salles d'expositions, Aquariums marins -- Poissons
Aménagement intérieur pour les visiteurs d'un aquarium public : "Le monde de la mer" à Prague.
Photographie, Phares, Goélands, Poireaux, Botanique, Géographie, Ajaccio (Corse-du-Sud. - région), Archipels, Arums, Lentisque, Puffins, Sanguinaires, Sites protégés
Archipel des Îles Sanguinaires en Corse. Site Natura 2000 : caractéristiques par leur aspect austère et hostile, les quatre îlots sont un site maritime classé, havre de paix pour des espèces d'oiseaux marins comme le goéland leucophée et le puffin, ainsi qu'une réserve naturelle pour une flore riche d'espèces rares et endémiques. Il est rare de trouver une telle diversité sur une surface aussi petite : plus de 150 espèces poussent sur Mezzu Mare. Les îles hébergent certaines plantes rares ou même absentes du reste de la Corse, parmi lesquelles le spectaculaire arum mange mouche. La végétation arborescente, dominée par le lentisque, est basse et adaptée à la proximité de la mer. Parmi de nombreuses espèces halophiles, la plus répandue est le poireau sauvage, qui a donné son nom à l’île d'i Porri.
Peinture, Printemps, Fleurs, Plantes des jardins, Aquarellistes, Botanique, Aquarelles, Fleurs dans l'art, Oeillets (plantes), Jules Eudes (1856-1938), Flore
Oeillets marins, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Fleurs de Printemps, Paul Lechevalier, 1929. L'armérie maritime (Armeria maritima), œillet marin, gazon d'Olympe ou gazon d'Espagne, est une espèce de plantes herbacées vivaces de la famille des Plumbaginaceae. Sa répartition est au niveau du littoral de l'hémisphère nord. En France, elle est rencontrée sur les côtes de la Manche et de l'Atlantique (Vendée, Bretagne), sur les rochers et pelouses de bords de mer, battus par les embruns. C'est une plante basse à souche ramifiée, formant des coussinets, à feuilles linéaires, à fleurs roses en têtes denses, arrondies. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9rie_maritime
Planche botanique de la Belladone (Atropa belladona), Atlas des Plantes de France, 1891. Elle est parfois appelée, Belle Dame, le Bouton-noir, la Cerise du diable, la Guigne de côte, l’Herbe empoisonnée, la Morelle furieuse, la Morelle marine ou Permenton. Cette plante peut se révéler très toxique : ses baies noires contiennent une toxine, l'atropine, active sur le système nerveux. Son nom générique, "Atropa", correspond à celui de l'une des trois Parques (ατροπος, Atropos, inflexible), celle qui coupait le fil de la vie.
Photographie, Biologie marine, Crevettes, Aquariums, Aquariums -- Plantes, Parasites -- Lutte biologique contre
Crevette (Lysmata amboinensis) dans un aquarium privé. Lysmata amboinensis est une espèce de crevette du genre Lysmata, proche de l'espèce Lysmata grabhami. Cette crevette est largement exploitée en aquarium marin pour sa capacité à déparasiter les poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Lysmata_amboinensis.
Diatomées, groupe phytoplanctonique le plus répandu. Les Bacillariophyta (diatomées) sont des microalgues unicellulaires planctoniques (de 2 μm à 1 mm) présentes dans tous les milieux aquatiques (avec une préférence pour les eaux froides) et enveloppées par un squelette externe siliceux. Elles peuvent vivre isolées ou en colonie, être libres ou fixées. Les formes pélagiques appartiennent au phytoplancton, les formes benthiques appartiennent au microphytobenthos. Les diatomées sont un constituant majeur du phytoplancton et jouent donc un rôle primordial dans la vie des écosystèmes marins, à l'origine des réseaux alimentaires de nombreuses espèces. Environ 100 000 espèces sont répertoriées, mais elles pourraient être bien plus nombreuses. À l'inverse des écosystèmes terrestres, la productivité des écosystèmes océaniques est principalement assurée par les algues avec une faible contribution des plantes vasculaires. Les algues englobent une grande variété d'organismes allant de simples organismes unicellulaires à des organismes plus complexes comme les macroalgues. Les plantes vasculaires se limitent aux herbiers. La majorité de la productivité océanique est assurée par le phytoplancton. On estime qu'il est à lui seul responsable de 75% de la production primaire océanique3, les autres autotrophes (herbiers et macroalgues) étant souvent limités à des zones restreintes de l'océan : les zones côtières où les eaux sont peu profondes et suffisamment lumineuses.
Gravure, Plantes des dunes, Géographie, Littoral -- Aménagement, Animaux des dunes, Semis, Dunkerque (Nord. - agglomération), Dunes -- Fixation
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.261 : manuel scolaire, édition de 1904. LES DUNES DE DUNKERQUE. - On appelle dunes des collines de sable qui se sont formées sur les bords de l'Océan ou de la Manche. Elles sont stériles et souvent habitées par des renards. On arrête les dunes, dans le Nord, en y plantant une sorte de jonc marin, et dans les Landes en y plantant des pins maritimes. Les plantations ou semis faits sur les dunes sont exemptées d'impots pendant trente ans.
Carte de l'écosystème originel terrestre et marin de l'île de Hawaï : avant la colonisation humaine se trouvaient une savane aujourd'hui disparue, et une grande forêt de plaine dont il ne subsiste que quelques fragments.
Photographie, Méditerranée (mer), , Herbiers, Plantes aquatiques, Mythologie grecque, Biologie, Poséidon, Posidonies
Herbier de posidonies (Posidonia oceanica) en Méditerranée. Les posidonies (du genre Posidonia) sont des plantes aquatiques de la famille des Posidoniaceae. Bien qu'elles vivent sous l'eau, ce ne sont pas des algues, mais des plantes à fleurs (angiospermes) monocotylédones sous-marines. Comme toutes les plantes à fleurs, elles ont des racines, et se reproduisent grâce aux fruits qu'elles produisent. Dans les eaux moins chaudes de l'Atlantique nord européen elles sont remplacées par les zostères qui constituent des herbiers jouant les mêmes fonctions écologiques. Le nom générique "Posidonia" dérive de "Poséidon" (dieu des Mers et des Océans dans la mythologie grecque). Les fibres des feuilles de posidonies, difficilement dégradables, sont rassemblées par les mouvements de la mer en boule feutrées, appelées aégagropiles, souvent rejetées sur les plages de Méditerranée. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu.
Photographie, Landes -- France, Bretagne (France), Espaces protégés, Ille-et-Vilaine (France), Mont-Saint-Michel (France. - région), Baie du, Aire protégée d'Ille-et-Vilaine, Île inhabitée de France, Bretagne (France), Baie de, Cancale (Ille-et-Vilaine. - région), Île d'Ille-et-Vilaine, Ile des landes, Site naturel classé d'Ille-et-Vilaine, Aires protégées, Réserves ornithologiques, Sites naturels classés, Sites naturels protégés
Vue panoramique de l'île des Landes depuis la pointe du Grouin. L’île des Landes est une île côtière au nord-est de la pointe du Grouin, à Cancale en Ille-et-Vilaine (Bretagne), pointe à laquelle elle est géologiquement liée. C'est une réserve ornithologique qui compterait plus de 1000 couples de goélands. L'île a une longueur d'un peu plus de 1100 mètres pour une largeur maximale d'à peine 100 mètres. Elle a une orientation nord-nord-est / sud-sud-ouest et présente un relief escarpé. Sa moitié sud longe l'extrémité est de la pointe du Grouin dont elle n'est séparée que par un étroit chenal. L'île est inhabitée et ne présente aucune construction. Outre l'abri d'importantes colonies d'oiseaux marins, la particularité de cette île réside dans son apparence polystratée. Des couches d'algues, de lichens noirs, de lichens jaunes et de plantes halophytes se superposent horizontalement. L'île irradiée par le soleil diffuse des couleurs assez remarquables, contrastant avec un horizon (baie du Mont-Saint-Michel) aux tons nettement différents. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_des_Landes
Photographie, Photographie sous-marine, Herbiers, Herbivores, Plantes aquatiques, Biologie, Lamantins
Lamantin (Trichechus manatus) se nourrissant dans un herbier. le Lamantin est un mammifère herbivore se nourrissant exclusivement de plantes aquatiques (50 kg par nuit environ), jouant ainsi un rôle écologique important pour la pénétration de la lumière dans l'eau. Vivent en eaux littorales peu profondes, dans l'embouchure des fleuves et les marais côtiers de la zone tropicale de l'Atlantique. Leur faciès large et leur mode d'alimentation leur vaut parfois le surnom de « vaches de mer » ou « vaches marines ».
Photographie, Herbiers, Botanique, Poséidon, Posidonies, Écologie des rivages, Rogliano (Haute-Corse)
Macinaggio, marine de Rogliano, plage avec dépot de posidonies. Tirant son nom du dieu de la mer grec Poséidon, elle joue plusieurs rôles fondamentaux pour le milieu marin littoral. Les herbiers qu'elle forme sont des lieux de frayère et de nurserie pour de nombreuses espèces animales. Elle constitue également une source de nourriture, parfois importante, pour certaines espèces herbivores (oursins, saupes, etc.). Une partie de la production de feuilles d'un herbier va se retrouver exportée, sous forme de litière, vers d'autres écosystèmes éloignés (plage, canyon sous-marin,...) où elle constituera une source de carbone importante pour le fonctionnement de ces écosystèmes. Elle permet de fixer les fonds marins grâce à l'entrelacement de ses rhizomes. Ceux-ci s'empilent d'une année sur l'autre, contribuant à augmenter progressivement le niveau du fond (environ un mètre par siècle. Elle « piège » des particules en suspension et du sédiment, contribuant ainsi au maintien de la clarté des eaux. Les herbiers à Posidonia oceanica sont considérés comme des formations essentielles dans le stockage du carbone atmosphérique et l'oxygénation du milieu. Lorsque les herbiers de posidonie se développent au fond de criques de très faible profondeur, les plantes affleurent la surface et peuvent créer un récif barrière, par analogie aux récifs coralliens, contribuant à la formation d'un biotope particulier.
Le tour de la France par deux enfants, par George Bruno, pseudonyme d'Augustine Fouillée (née Tuillerie), 1877, p.228 ; manuel scolaire, édition de 1904 : PLANTES DE LA MER. - Sous la mer, il existe des montagnes et des vallées, des vallées impénétrables, de vastes prairies où viennent brouter les animaux marins. Les principales plantes de la mer sont les algues et les varechs. On y trouve aussi un grand nombre d'animaux-plantes, comme le corail et la méduse représentés dans la gravure.
Dessins et plans, Cartes du monde, Cartes physiques, Cartes marines, Biomasse -- Analyse, Mer -- Productivité, Productivité, Sols -- Productivité
Répartition des producteurs primaires terrestres (de vert à marron) et océaniques (de bleu à violet), de Septembre 1997 au mois d'Août 2000. Estimée en tant que biomasse autotrophe, c'est un indicateur approximatif de la production primaire potentielle. Issu du projet SeaWiFS, de la NASA/Goddard Space Flight Center et de ORBIMAGE. La productivité primaire traduit la vitesse à laquelle se forme par unité de temps, une quantité donnée de matière organique à partir de matière minérale et d'un apport d'énergie. C'est un flux exprimé en masse de carbone assimilé par unité de temps1. Cette production de matière organique s'effectue principalement grâce à la photosynthèse (la chimiosynthèse étant beaucoup moins répandue). Dans un écosystème, la productivité primaire est réalisée par les producteurs primaires également appelés autotrophes. Il s'agit du premier maillon d'une chaine alimentaire dans un réseau trophique. Les producteurs primaires sont principalement des plantes dans les écosystèmes terrestres et des algues dans les écosystèmes aquatiques. On appelle production primaire l'énergie qui est accumulée par la productivité primaire.
Photographie, Australie (ouest), Cyanobactéries, Écologie des récifs, Microbiologie marine, Récifs -- Plantes, Stromatolithes
Les cyanobactéries comptent parmi les formes les plus anciennes de vies en colonies capables de construire des récifs. Les stromatolithes construits par certaines espèces existaient il y a plus de 3,5 milliards d'années. On en trouve encore quelques formations, dont ici dans l'ouest de l'Australie, dans le parc national de Yalgorup.
Photographie, Phares, Pelouses -- Entretien, Craie, Géographie, Falaises, Photographie de paysages marins, Littoral -- Aménagement, Plantes des falaises, Eastbourne (East Sussex, Royaume-Uni), Pelouses -- Tondeuses, Pelouses calcaires, Tondeuses à gazon mécaniques
Tondeuse au Cap Béveziers (Beachy Head), promontoire de craie sur la côte sud de l'Angleterre, près de la ville d'Eastbourne (comté de l'East Sussex), immédiatement à l'est des Seven Sisters, Sussex. Sa falaise est la plus haute falaise côtière de craie en Grande-Bretagne, s'élevant à 162 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique ou zone épipélagique, est la zone aquatique comprise entre la surface et la profondeur maximale d’un lac ou d’un océan, exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse se produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité saisonnière. La zone pélagique est divisée en sous-zones, suivant des différences dans leurs caractéristiques écologiques (qui est sensiblement fonction de la profondeur marine) : 1) Épipélagique (de la surface jusqu'à 200 mètres) - Espace où la lumière est suffisante pour permettre la photosynthèse, les plantes et animaux étant largement concentrés dans cette zone. Cet espace est aussi appelé zone photique. Attention toutefois, la zone photique ne concerne que les 100 premiers mètres de la zone épipélagique. En dessous, il ne reste plus que 1 % du rayonnement global (le bleu va plus profondément, le rouge beaucoup moins), ce qui est insuffisant pour la photosynthèse. 2) Mésopélagique (entre 200 et 1 000 mètres) - La lumière arrivant à pénétrer ces profondeurs est insuffisante pour la photosynthèse. Le nom vient du grec μέσον (meson), « milieu ». Cet espace est aussi appelé zone aphotique. 3) Bathypélagique (entre 1 000 mètres et 4 000 mètres) - À cette profondeur, l'océan est presque entièrement sombre (avec simplement les organismes bioluminescents). Il n'y a pas de plantes vivantes et la plupart des animaux survivent en consommant la neige marine des détritus tombant des zones au-dessus, ou par la chasse d'autres organismes. Les calmars géants vivent à cette profondeur, où ils sont chassés par le cachalot. Le nom vient du grec βαθύς (bathys), « profond ». 4) Abyssopélagique (de 4 000 mètres jusqu'à la croûte océanique) - Aucune lumière quelle qu'elle soit ne pénètre à cette profondeur. La plupart des êtres vivants sont aveugles et albinos. Le nom vient du grec άβυσσος (abyssos), « abysse », signifiant « sans fond » (dans les temps anciens, on croyait que l'océan était sans fond). 5) Hadopélagique (les profondeurs des failles océaniques, jusqu'à 11 000 mètres) - Le nom dérive de Hadès, dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Cette zone est en très grande partie inconnue et très peu d'espèces y ont été répertoriées.